On parle d’engouement, de coups de cœur ; on parle aussi de mieux gérer son épargne, de prendre des risques (mesurés) et contribuer à financer de l’innovation et des startups. Tout ceci grâce aux mêmes outils qui rapprochent offres et demandes : des plateformes Web.
En un peu plus de quatre ans, les différentes formes de finance participative ont acquis une crédibilité importante. Elles servent aussi de thermomètre pour mesurer des phénomènes de société invisibles auparavant. C’est ce premier bilan que souhaite présenter Financement Participatif France (FPF), l’association qui fédère les acteurs et l’écosystème de la finance alternative.
[Télécharger la note d’analyse rédigée par Financement Participatif France]
Merci à tous les contributeurs de cette synthèse. Cette publication a été rédigée par :
- Benoît Granger, administrateur FPF délégué à la déontologie
- Alpha Diallo, chargé de mission FPF
- Florence de Maupeou, directrice générale FPF