Les Echos |
De Jean-François Boulier
Ils s’appellent Wealthfront aux Etats-Unis, Advize ou Marie Quantier en France. Ces nouveaux entrants sur le marché de l’épargne utilisent tous le levier de la technologie et embellissent l’« expérience client » en proposant un accès très peu coûteux à l’investissement en ligne. Un modèle que pourraient suivre, voire exploiter à grande échelle, les géants établis de l’e-économie. Est-ce viable maintenant, faut-il craindre ce nouvel assaut ? Comment les acteurs du secteur peuvent-ils répondre à une telle menace ?